Depuis 2020, les factures électroniques envahissent le quotidien des entreprises. Cela peut s’expliquer par le fait que les entreprises veulent moderniser leur processus de gestion, tout en sécurisant leurs données. En effet, la dématérialisation des factures offre de nombreux avantages. A partir de l’année 2024, la facture électronique deviendra obligatoire pour tous les professionnels.
Qu’est-ce qu’une facture électronique ?
Une facture électronique ou numérique est une facture émise, transmise et reçue au format numérique. A la différence des factures traditionnelles en papier, la facture électronique est créée intégralement depuis un outil informatique. Grâce à la dématérialisation, vous pouvez traiter, enregistrer et envoyer vos factures depuis un ordinateur. Par ailleurs, les factures numérisées seront stockées et sécurisées dans un système de Gestion Electronique des Documents (GED). Si vous voulez avoir plus d’informations sur la facture électronique, consultez En savoir plus sur le site d’Agiris.
Quels sont les avantages de la facture électronique ?
Réduction des dépenses
L’un des plus grands avantages de numériser vos factures est que vous n’aurez plus besoin d’acheter du papier. Cela vous permet de réaliser des économies et d’optimiser votre processus d’achat.
Sécurité des données
En plus d’améliorer l’efficacité de la gestion administrative, la facture électronique permet également de réduire les erreurs humaines et les risques de perte de documents. En effet, tous les documents seront stockés dans un outil sécurisé.
Gain de temps
Le processus automatisé est capable de traiter et de créer plusieurs factures en un rien de temps. Cela permettra d’améliorer votre relation avec vos fournisseurs/clients et d’éviter les retards de paiement.
L’obligation en matière de facture électronique
Selon l’article 153 de la loi de Finance, le recours à la facture électronique sera rendu obligatoire pour les entreprises, à partir de l’année 2024, selon le calendrier de généralisation suivant :
- 1er juillet 2024 : pour toutes les entreprises ;
- 1er juillet 2024 : pour les grandes entreprises ;
- 1er janvier 2025 : pour les entreprises de taille intermédiaire ;
- 1er janvier 2026 : pour les PME et micro-entreprises.